Départ
tôt le matin, il fait déjà beau et chaud....La journée s'annonce rude
car il faut longer la côte rocheuse et sablonneuse, ce qui signifie qu'il
faudra marcher dans le sable, et moi, j'aime pas çà.
On
arrive en fin de matinée à Paleochora.
La
fin de la marche est particulièrement pénible puisque l'on quitte les
sentiers pour une route goudronnée surchauffée
qui serpente au milieu des dizaines de serres de tomates. La chaleur est
écrasante et il n'y a pas un pet de vent. je crois qu'Édith s'en rappelle
encore....
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Bref un papy nous accoste dan la rue avec dans la mains des petits papiers
sur lesquels il a écrit des chiffes correspondant aux tarifs de ses
chambres. Nous le suivons pour découvrir deux superbes chambres à 15
euros chacune, là encore le luxe... L'après
midi est consacrée à l'activité de base en Crête : la sieste, suivie
bien sur plus tard - quand le soleil a fini de taper trop fort - par une
petite ballade dans la ville.
Paleochora est un petit village de pécheurs au bord de la mer qui fut
longtemps le repère des hippies et beatniks au temps de la
"route" vers katmandou. Sur les hauteurs du village (en forme de
presqu'île) , il y a des ruines sympas d'un fort vénitien. C'est
une ville magnifique avec une plage de part et d'autre de la presqu'île
avec le choix entre galets et sable fins. L'eau est à environ
19/20°C et il fait 35°C. Une histoire circule dans la ville selon
laquelle un pêcheur aurait un jour au court de sa pêche, blessé un
pélican. Celui -ci aurait été ramené à la ville et y séjourne
désormais, mangeant les poissons que les habitants lui donne. Nous a
regardé, mais on l'a pas trouvé !.
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